Hautes-Alpes : le centre de secours du Haut-Guil pourrait se voir pérennisé

SÉCURITÉ / Un centre qui a vu le jour il y a un an, pour faire face au glissement de terrain du Pas de l'Ours dans le Queyras.

 

- Hautes-Alpes - 

 

Être pompier, c’est aussi assurer de la proximité dans les secours. Car un centre d’opérations trop éloigné allonge le temps d’intervention. Et dans les Hautes-Alpes, c’est dans le Queyras que l’on trouve l’exemple parfait. Suite au glissement de terrain du Pas de l’Ours, près de Ristolas et Abriès, une partie de la vallée pouvait se voir coupée du monde, et surtout des secours, en cas d’effondrement. Il fallait donc assurer la continuité.

 

"On gagne 10 minutes d'intervention", Lieutenant C. Monnet

 

Une nouvelle section de sapeurs-pompiers a donc été créée, il y a tout juste un an, à Abriès dans le Haut-Guil. "Une mise en place rapide, avec une campagne de recrutement favorable", souligne le Lieutenant Christophe Monnet, à la tête de ce centre.