Hautes-Alpes : les vallées Sud du Mont-Viso candidates pour être reconnues comme territoire transfrontalier

ÉCONOMIE / Elles ont déposé un dossier appelé Programme Alpes latines coopération transfrontalière ou ALCOTRA – Fonds européens de développement régional ou FEDER. Les acteurs français se sont retrouvés mercredi dernier à Risoul.

 

- Hautes-Alpes -

 

Les vallées Sud du Mont-Viso ont candidaté auprès de l’Europe pour être reconnues comme territoire transfrontalier en déposant un Plan Intégré Territorial ou PITER (Programme Alpes latines coopération transfrontalière ou ALCOTRA - Fonds européen de développement régional ou FEDER). Retenus par le comité de programmation Alcotra le 11 juillet 2018, les premiers bénéficiaires français se sont réunis ce mercredi 17 octobre à 14h en mairie de Risoul à l’invitation de Max Brémond, maire de Risoul, président de la Communauté de communes du Guillestrois et du Queyras et chef de file du PITER pour le premier Comité de Coordination et de Communication (CoCoCo) France.

Les Terres Monviso se sont vues accorder 6.678.000 euros du FEDER pour une mise en œuvre globale sur quatre années de 7.856.470 euros. À ce jour, trois projets ont été programmés : le Projet 1 : Terres Monviso-CoCo : Coordination et Communication pour un montant de 376.638 euros (6% de l’ensemble du projet) ; le Projet simple 2 Terres Monviso-Eco : Economies vertes pour un montant de 1 400.000 euros et le Projet simple 4 Terres Monviso-T(o)UR : Tourisme international pour un montant de 2.077.320 euros. Les deux autres projets pressentis seront déposés avant le 10 juillet 2019 : le Projet simple 3 Terres Monviso – RisK : Mobilité transfrontalière et le Projet simple 5 Terres Monviso–InCl : Bien vieillir. Pour Max Brémond, c’est un projet important :