Hautes-Alpes : le Parc national des Écrins réfléchit à sa fréquentation

Hautes-Alpes : le Parc national des Écrins réfléchit à sa fréquentation

ENVIRONNEMENT / Alors que sa charte doit être renouvelée, le Parc doit y inclure la fréquentation et surtout son impact sur les milieux. Pas question pour autant d'interdire certains accès à certaines périodes de l'année

 

- Hautes-Alpes - 

 

50 bougies soufflées cette année par le Parc national des Écrins. Une histoire qui a d’abord débuté en 1913 avec la création éphémère d’un parc national de la Bérarde. Mais il faudra attendre 1973 pour que le parc national des Écrins voit officiellement le jour sous l’impulsion des alpinistes, des associations naturalistes, du Club Alpin Français et le soutien du député-maire de Briançon à l’époque, Paul Dijoud.

 

L'impact de la fréquentation

Un parc qui fonctionne aujourd’hui comme une véritable vigie, une surveillance de la biodiversité et l’impact du réchauffement climatique. Un parc qui est appelé à renouveler sa charte, pratiquement à la marge selon le directeur Ludovic Schultz car l’ancienne fait consensus. Il faudra toutefois ajouter un travail d’évaluation quant à la fréquentation touristique.